Plate-forme de lancement

C'est l'endroit d'où les navettes partent sur le vaisseau.

Maxine arrive ici, la navette est déjà prête, la générale est à côté.

Maxine arrive, fin prête, en tenue et avec son équipement.

" Je suis là. "

La générale se retourne et regarde Maxine de haut en bas.

" Bien, la navette vous emmènera directement sur la planète, vous recevrez sur votre téléphone les informations pour rejoindre les deux autres agents.

" D'accord, Générale. "

En la saluant, elle la dévisage un peu, essayant de repérer un possible facemaker.

Jet Perception (55) :

Akemi a effectué 1 lancé(s) d'un (d100.) :

98

Max repère quelque chose d'étrange au niveau du cou de la générale qui pourrait clairement indiquer la présence d'un facemaker.

Max se crispe un peu, mais elle sait bien que ses sens l'ont trompé autrefois. Elle jette un coup d'oeil à la chose étrange, hésite, puis elle monte dans la navette, encore plus stressée.

" Bonne chance pour la suite, Major. "

La générale fait un clin d'oeil et ferme la porte de la navette.

Le visage de Max se décompose. Elle s'enfonce dans le siège de la navette, agrippée à son téléphone.

La navette décolle et emmène Max dans un endroit qu'elle connait bien.

La navette de Maxine arrive et se pose. Lorsque l'arrière de la navette s'ouvre, Maxine peut voir que la générale est présente avec plusieurs soldats à ses côtés.

Maxine sort de la navette en se tenant le ventre. Elle regarde la générale, puis les soldats, puis la générale. Elle soupire, frustrée.

" Est-ce que je vais avoir l'occasion de raconter ma version de l'histoire ou bien vous préférez leur faire confiance à eux ? "

Dit-elle en insistant sur le "eux".

La générale répond.

" Vous allez vous faire ausculter et ensuite vous serez conduite en salle d'interrogatoire, Major. "

Elle fait signe aux soldats qui viennent se mettre aux côté de Max pour l'accompagner jusqu'à l'infirmerie.

Maxine ne répond pas et se laisse emmener.

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Maxine arrive, arrange ses cheveux et ses vêtements puis attend patiemment, "au repos" avec les jambes légèrement écartées et les mains jointes dans le dos.

" J'aime quand tu as les jambes écartées... "

Lui dit l'Autre Joy en se tenant dans la même position.

Les navettes passent le champ de protection et se posent dans le hangar, il y a cinq navettes.

Maxine attend. Elle se dit que c'est peut-être un peu ridicule d'être là toute seule dans soldats, mais bon comme l'a expliqué le monsieur au poste de pilotage, il n'y a malheureusement plus grande monde. Elle attend patiemment, cachant sa nervosité qui lui titille le ventre.

Les portes latérales des navettes s'ouvrent et des soldats descendent, il y en a une bonne trentaine. L'un des soldats se détachent du lot et se rapproche de Maxine.

" Commandante Hallers, bonjour, je suis le capitaine Ortsmeyer, je ramène des troupes, du matériel... "

Il marque une pause.

" Et votre uniforme. "

'' Bonjour capitaine, bienvenu à bord. ''

Max le salue en souriant poliment. Elle sent une petite boule de chaleur dans son ventre quand il dit qu'il a son uniforme, comme un enfant à noël.

'' Merci pour tout ça. Il y a du matériel médical dans le lot ? L'autre commandant Hallers a besoin d'une prothèse. ''

Elle regarde en même temps les troupes, et regarde si il y a d'autres officiers ou sous-officiers vu qu'il n'y a qu'elle sur le vaisseau.

" L'autre commandant Hallers ? "

Il marque une pause.

" C'est juste monsieur Hallers maintenant, commandante. "

" Je vois. C'est définitif ? "

" Je pense, commandante. Je n'ai pas toute les informations. "

Maxine est quand même triste pour Derrick, même si elle l'avait prévenu.

" Je vois. Je me renseignerai. Merci, capitaine. Vous avez de la famille qui va vous rejoindre ? Je ne sais pas si l'ancien capitaine avait de grands appartements. "

" Du tout, commandante, je ne suis que de passage et pour votre question pour le matériel médical, oui, on en a mais je ne sais pas si il y a des prothèses. "

" D'accord, j'en commanderai si il faut. Merci de m'avoir amené tout ça. Je vais aller annoncer la mauvaise nouvelle à mon mari, si vous n'avez plus besoin de moi. "